La ville
en X

Projet utopique de ponts habités - 1969

Pour une architecture prospective préfigurant la Ville de l’An 2000.
Depuis la fin des années 1950, la ville a été conçue comme un organisme vivant qui n’a cessé d’évoluer. L’urbanisme a accompagné cette évolution. Les procédés constructifs «high tech» ont été privilégiés en France à partir des années 1960 :Paul Maymont imagine une ville sous-fluviale, Yona Friedman une architecture mobile ; André Biro et Jean-Jacques Fernier mettent au point la «Ville en X à structure continue» pour réunir densité et étendue du territoire. Ces réflexions trouvent un écho dans les organismes officiels. Aussi en 1969, lors du Concours International d’Urbanisme et d’Architecture, le projet de la Ville en X permet à Biro & Fernier de recevoir le Grand Prix International d’Urbanisme et d’Architecture.
La Ville en X est une structure porteuse continue en forme de X. Dans la partie formée au croisement des 2 branches, passent les réseaux de circulation et les transports d’énergies et de canalisations. Largement ouverte, la partie supérieure du X s’élève sur X étages et accueille les logements. Elle bénéficie d’un ensoleillement maximum grâce à son inclinaison. Les branches basses sont destinées aux bureaux, stockages et parking en raison d’un moindre ensoleillement. Le sol naturel est dégagé à 90% pour être consacré à l’agriculture, aux équipements sportifs et à la détente.

La ville en X

Projet utopique de ponts habités - 1969
Illustration 1
Illustration 2
Illustration 3
Illustration 4

Pour une architecture prospective préfigurant la Ville de l’An 2000.
Depuis la fin des années 1950, la ville a été conçue comme un organisme vivant qui n’a cessé d’évoluer. L’urbanisme a accompagné cette évolution. Les procédés constructifs «high tech» ont été privilégiés en France à partir des années 1960 :Paul Maymont imagine une ville sous-fluviale, Yona Friedman une architecture mobile ; André Biro et Jean-Jacques Fernier mettent au point la «Ville en X à structure continue» pour réunir densité et étendue du territoire. Ces réflexions trouvent un écho dans les organismes officiels. Aussi en 1969, lors du Concours International d’Urbanisme et d’Architecture, le projet de la Ville en X permet à Biro & Fernier de recevoir le Grand Prix International d’Urbanisme et d’Architecture.
La Ville en X est une structure porteuse continue en forme de X. Dans la partie formée au croisement des 2 branches, passent les réseaux de circulation et les transports d’énergies et de canalisations. Largement ouverte, la partie supérieure du X s’élève sur X étages et accueille les logements. Elle bénéficie d’un ensoleillement maximum grâce à son inclinaison. Les branches basses sont destinées aux bureaux, stockages et parking en raison d’un moindre ensoleillement. Le sol naturel est dégagé à 90% pour être consacré à l’agriculture, aux équipements sportifs et à la détente.

La ville en X

Projet utopique de ponts habités - 1969

Pour une architecture prospective préfigurant la Ville de l’An 2000.
Depuis la fin des années 1950, la ville a été conçue comme un organisme vivant qui n’a cessé d’évoluer. L’urbanisme a accompagné cette évolution. Les procédés constructifs «high tech» ont été privilégiés en France à partir des années 1960 :Paul Maymont imagine une ville sous-fluviale, Yona Friedman une architecture mobile ; André Biro et Jean-Jacques Fernier mettent au point la «Ville en X à structure continue» pour réunir densité et étendue du territoire. Ces réflexions trouvent un écho dans les organismes officiels. Aussi en 1969, lors du Concours International d’Urbanisme et d’Architecture, le projet de la Ville en X permet à Biro & Fernier de recevoir le Grand Prix International d’Urbanisme et d’Architecture.
La Ville en X est une structure porteuse continue en forme de X. Dans la partie formée au croisement des 2 branches, passent les réseaux de circulation et les transports d’énergies et de canalisations. Largement ouverte, la partie supérieure du X s’élève sur X étages et accueille les logements. Elle bénéficie d’un ensoleillement maximum grâce à son inclinaison. Les branches basses sont destinées aux bureaux, stockages et parking en raison d’un moindre ensoleillement. Le sol naturel est dégagé à 90% pour être consacré à l’agriculture, aux équipements sportifs et à la détente.